Pensée pour améliorer votre confort thermique, la climatisation regroupe plusieurs phénomènes de pollution atmosphérique.
de gaz et augmente l’effet de serre. Selon l’ADEME, 1g de ce fluide équivaut à 1,3 kg de dioxyde de carbone rejeté dans l’atmosphère. Cette pollution atmosphérique est avant tout due à un mauvais entretien du système ou d’une installation qui n’a pas été réalisée par un professionnel.
L’installation et l’entretien sont donc des facteurs déterminants aussi bien en termes de longévité des climatiseurs qu’en termes de limitation des émissions de gaz à effet de serre. Contrairement aux appareils électroménagers, les climatiseurs ne font actuellement l’objet d’aucun programme de recyclage en France.
Et pourtant, les fluides frigorigènes continuent à s’échapper lorsqu’ils sont mélangés aux autres déchets. Ensuite, les appareils de climatisation inadaptés au logement entraînent une surconsommation d’électricité qui selon l’ADEME accroît la facture énergétique jusqu’à 25% pour une surface estimée à 45m². Avec la crainte du retour d’une canicule comme celle de 2003, la climatisation fait de plus en plus d’adeptes chez les particuliers.
Une réelle problématique se pose donc quant au phénomène de montée en puissance de la climatisation et ses conséquences sur l’environnement. Notez que les énergies renouvelables apportent une part de réponse à cette problématique. En savoir plus.